En 2015, je fais craquer le coeur de Sandrine, une bénévole du refuge, qui m'adopte. N'ayant pas un terrain suffisament grand pour me prendre chez elle, je reste donc pensionnaire au refuge. C'est génial car ainsi je peux rester avec mes compagnons et sortir en balade avec eux. Ma pension permet également d'apporter de l'argent à l'association et de sauver d'autres équidés dans le besoin.